Pour un monde sans torture ni peine de mort !
Accueil    >    Qui sommes-nous ?    >    La fondation de l’ACAT
Intention de prière

"Ainsi parle le Seigneur Dieu : Ne le savez-vous pas ?...

...Encore un peu, très peu de temps,...
Les sourds ... entendront les paroles du livre.
Quant aux aveugles, sortant de l’obscurité et des ténèbres,
leurs yeux verront. Les humbles se réjouiront de plus en plus
dans le Seigneur, les malheureux exulteront en Dieu, le Saint d’Israël.
Car ce sera la fin des tyrans, l’extermination des moqueurs,
et seront supprimés tous ceux qui s’empressent à mal faire,
ceux qui font condamner quelqu’un par leur témoignage,
qui faussent les débats du tribunal et sans raison déboutent l’innocent."

( d’après Isaïe 29, 17-21)

Appels à intervention
La fondation de l’ACAT

L’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT) est née en France le 16 juin 1974, sous l’initiative d’Hélène Engel et d’Edith du Tertre.

Après avoir entendu le témoignage de Tullio Vinay, pasteur italien revenu du Sud-Vietnam, sur la torture subie par des prisonniers politiques, elles décident d’agir. Hélène Engel, alors âgée de 73 ans, initie une action pour sensibiliser les Églises au scandale de la torture.

« Je ne puis me dire chrétienne et continuer à vivre comme si je ne savais rien ».

Persuadées qu’une action chrétienne ne pouvait être qu’œcuménique, Hélène Engel et Edith du Tertre font alors appel à des personnalités des Églises catholique romaine, protestante et orthodoxe.

Leur appel est entendu, et l’ACAT naît de l’initiative de représentants des trois confessions. Rapidement, un réseau dense de groupes se forme en France, avant de s’étendre à d’autres pays. En 1985, l’ACAT-Belgique francophone est fondée.

Dans le but de regrouper toutes les ACAT nationales et de dynamiser le réseau, la Fédération internationale de l’ACAT (FIACAT) a été mise sur pied en 1987.

  Imprimer